CHRYSALIDE OU L'ENVOL D'UNE FLEUR BLEUE

Comment cela a démarré ?
Par un cran d’arrêt, sur la carotide !
Pourquoi ? Sous le prétexte futile d’un bouton oublié au col d’une chemise.
Marcel vit régulièrement de ces colères aveugles et ravageuses qui s’abattent en salves de plus en plus violentes sur Hélène, sa femme.
Celle-ci, peu à peu s’enferme dans un monde parallèle pour échapper à cette vie de querelles et d’agressions, jusqu’à y sombrer complètement.
S’en sortira t-elle ? Trouveras-t-elle la force de revenir à la vie et de partir avec ses enfants ? De quitter définitivement celui qu’elle a aimé, avec qui toute vie de famille stable et saine est impossible, auprès de qui le respect de soi et l’équilibre des enfants ressemblent à une gageure.
Ce premier roman de Sylvie Robin « Chrysalide ou l’envol d’une fleur bleue » ouvre une boite de Pandore. Celle où la violence conjugale s’exprime en secret, au sein du couple, alors que l’apparence extérieure de la famille donne à penser que tout va bien. L’action située dans les années 80 en Bretagne donne à comprendre la lente progression de la violence et de la perversité qui sévit dans bon nombre de couples.
Ce qui était vrai hier, l’est encore de nos jours. En attestent les derniers chiffres publiés en 2007 : Une femme sur huit est battue par son conjoint; En France, une femme meurt tous les trois jours aujourd'hui de cette manière......

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Illustration de couverture : Yves Donval
Prix Editeur : 22.00 Euros TTC hors frais de port
Prix sur site : 20.90 Euros TTC frais de port inclus

Article de presse, Interwievs et dédicaces :

Dédicaces à l'Espace Culturel de Quimper le 6 décembre
Interwiev radiophonique RCF Côtes d'armor le dimanche 12 octobre 12h40
Dédicaces au Salon du livre Lennvor 2008 Le Relecq-Kerhuon,
Dédicaces Maison de la Presse Pont-Aven le 28 octobre
Dédicace Quimper, le 27 septembre
Dédicace à Bénodet le 29 août
Dédicace à la maison de la Presse le 30 mai
Dédicace au moulin du Poulguin le 16 mai

J'ai 54 ans depuis le 31 mars. J'aime à écrire depuis toujours, mais je n'avait jamais osé faire le pas d'écrire un roman.
Voici, c'est chose faite.
Un second et un troisième sont en chemin.
Je vous mets en ligne dans quelques temps mes textes courts et poèmes ainsi que quelques nouvelles que j'ai écris par le passé et qui dorment tranquillement sur leur page de cahier d'écolier.

 

Commentaires des lecteurs :

 

Lettre de Karine Bourgeois :

Tout d'abord, je tiens à te remercier. En effet, je lis énormément et je peine à trouver, en particulier chez les auteurs contemporains, un ouvrage correctement écrit. J'aime ton style littéraire à la fois correct et accessible. Rien que pour cela, c'est un délice pour les yeux et une perle dans la littérature d'aujourd'hui.
Tu as très bien choisi ton introduction et j'ai aimé le fait que tu t'exprimes personnellement sur ce fléau dans ta conclusion.
Quant au contenu, je trouve qu'il est intéressant d'utiliser la littérature pour faire passer un message d'espoir, d'optimisme et d'amour aux femmes et aux hommes qui sont concernés mais aussi une manière de sensibiliser les autres à ce problème.
Il aurait peut-être été intéressant de pousser la description et l'attitude d'Hélène et de Marcel dans leur paroxysme. Mais à la réflexion, cela n'aurait-il pas enlevé la symbolique que tout est possible ? Le caractère positif ? Il ne faut pas perdre de vue que c'est un roman et non un témoignage ou un documentaire.
Ce Marcel m'a paru par moment effacé. N'oublions pas que les victimes subissent au fil du temps comme un lavage de cerveau, un dénigrement permanent et quotidien, ce qui les fragilise d'autant plus.
Mais j'aime l'idée que ton livre puisse insuffler l'énergie, la force, … le petit plus qui leur fera franchir le pas vers leur envol …
Peut-être aurait-il été utile de faire figurer les coordonnées (classiques ou mail) qui leur seraient profitables.
Ce n'est souvent pas l'entourage en effet qui est le plus réactif. C'est important, dans ce cas, de se sentir entouré(e), compris(e), écouté(e).
Et si l'amour peut être en plus présent, c'est le summum. Car, c'est bien connu, l'amour donne des ailes et avec lui rien n'est impossible !

De grosses bises à toi Sylvie pour ta dédicace et ton œuvre.

A quand le prochain ?

Ps: Si autre chose, j'aurai aimé savoir quelle a été ta motivation pour écrire sur ce thème ? Comment as-tu élaboré ton livre ?
As-tu participé à des ateliers d'écriture ?
Le 3 juin 2011

Réponse à Karinne

Bonjour Karine, c'est un véritable plaisir que de lire tes lignes, car je pense qu'elles sont sincères et ne continnent pas une once de flaterie ou flagornerie de ta part, ainsi donc il me va droit au coeur.

Je n'ai jamais participé à des ateliers d'écriture; Mes premiers écrits remontent à mes 9 -10 ans, puis à 13 ans, je me suis mise en tête d'écrire un roman de chavalerie, toute gavée que j'étais alors de toutes lectures d'Alexandre Dumas et de Maurice Druon dont j'avais avalée la quasi totalité des oeuvres, toutes les nuits en mettant mon manteau sur la lampe pour la lumière ne passe pas sous la porte et que ma mère ne se doute de rien.

Quant au roman, Chrysalide, j'ai eu de nombreuses fois à voir, à vivre aussi ce genre de situation, ce qui m'a permis d'avoir quant à la réalité des faits, un fil conducteur. Et je voulais vraiment aborder le sujet, non pas pour faire pleurer dans les chaumières, mais pour donner un petit coiup de projecteur, sur le fait que la force en soi, est plus forte que la destruction opérée sur soi par l'adversité, que la voie en soi, si tant est que l'on sait l'entendre et suivre ses directives nous amène toujours vers un meilleur devenir, vers un être meilleur.

Merci encore Karinne

 

 

Lettre de Rémi Le Moullec

Bonjour
Comme promi je vous envoie mon avis sur votre roman : Qu'est ce qu'elle en subi cette Hélène! Il est vrai que c'est comme ça dans la vie. On ne soupçonne pas, mais ce genre de situation est bien réel.
J'ai beaucoup aimé votre façon d'écrire, la preuve c'est que j'ai terminé le livre et éteint ma lumière à ciinq heures du matin. Heureusement le lendemain je ne travaillais pas! Un bon, même excellent moment dans lequel j'ai retrouvé l'esprit et l'âme des années 70-80. Cordialezment
Rémi Le Moullec (Finistère) le 10 janvier 2009

Lettre de Zette (80 ans)

Lorsque vous m'avez dédicacé votre ouvrage Chrysalide ou l'envol d'une fleur bleu, vous m'aviez averti que le début du roman campé une situation bien sombre.
C'est bien vrai en effet. Mais au-delà des premières pages, je me suis prise à aimer cette Hélène, un peu bête à mon avis : J'ai été mariée et amoureuse de mon mari quarante année durant, mais je serai partie s'il avait simplement une fois levé la main sur moi!
Quant au Marcel, quel affreux bonhomme. J'ai dévoré votre roman en trois jours et avait peine à éteindre la lumière pour dormir. J'y ai vécu plein d'émotions allant de l'étonnement au rire en passant par la peur et la révolte. En revanche, chose promise, chose due, je n'ai pas été regarder la fin du livre comme à mon habitude, mais ça me démangeait !
Bonne continuation et au plaisir de lire votre second ouvrage.
Zette ledieu (Finistère) le 12 décembre 2008

 

Lettre de Bernard

Je viens de terminer la lecture de ton livre et je suis touché par tes écrits .
Je me rends compte du chemin à parcourir et ceci d'autant mieux que lorsque je travaillais dans le C H R S , nous recevions parfois des femmes battues . J'ai aussi vu des gamins se cacher sous une table en entendant prononcer le nom du père ...
Ton écrit est un témoignage de plus .
Mais je m'attendais à ce que tu nous dises un mot sur ce coup violent reçu en pleine figure alors que tu te couchais et que tu allais t'endormir...
Est ce que l'explication sera donnée sur ton prochain livre ? ....
Très cordialement.
Bernard (Côtes d'Armor) le 28 Septembre 2008

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Témoignage de Catherine

A la lecture de ce livre, sur sa première partie, on a vraiment très peur; On a l'impression de vivre cette violence comme si elle était vivante.....

Catherine; Concarneau Finistère

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Lettre de Sara

Apres notre rencontre au Centre Culturel, dans ma voiture sur le chemin de retour vers Lesconil, je parlais seule faisant les demandes et les réponses. "Qu’est ce qu’une fleur bleue ? "
Si on est fleur bleue on parait nunuche ou niaise aux yeux des autres.
Roman fleur bleu = roman de gare, ou livre pour les mémés genre les veillées des chaumières.
Suis-je fleur bleue ???   IMPOSSIBLE... je ne peux plus être fleur bleue, la vie, les autres m’ont trop abimée. Mais malgré tout j’espère toujours quelque chose qui ne vient pas et ne viendra pas etc.……..
Arrivée chez moi, comme toujours je regarde et lis la fin du livre ce qui ne m’empêche pas de le lire en entier.
Etonnement  en lisant la conclusion je retrouvais une partie de mes réflexions.
Je me suis dit : "il faut te faire ton opinion, tu lis ce livre".
Je l’ai commencé le soir même. J’ai accroché tout de suite car j’ai découvert une écriture simple, un texte facile à lire mais très vivant. Les scènes de violence conjugale, la descente vers la dépression sont très bien décrites sans tomber dans le mélo, sans faire une étude approfondie de chaque sujet. Pour moi c’est un roman, pas une analyse sur les thèmes abordés.
Ce que j’ai apprécié c’est qu’il y a toujours un point positif, d’espoir ; exemple page 93 la vieille dame sur le banc, un sourire furtif, un regard et c’est le retour à la vie. La possibilité de prendre des décisions, de réfléchir, de se dire il ne faut pas continuer ainsi et après agir, retrouver du travail, partir avec les enfants.
Elle a Paul. Dans son malheur c’est une chance car elle n’est pas vraiment seule face à sa situation difficile d’autant plus que c’était il y a 30 ans donc pas les moyens actuels, les associations etc.….
Que ce soit il y a 30 ans ou maintenant je pense que face à l’alcoolisme, la violence conjugale ou autre problème on se retrouve seul , face à soi même , même si les autres écoutent il n’y a que soi qui peut agir .
Il faut trouver en soi cette énergie, dans le livre c’est décrit simplement mais de façon logique, cohérente, on sent l’évolution dans ses réflexions (je ne trouve pas le mot juste)  
Ce roman n’est pas autobiographique mais à mon avis il y a beaucoup de vécu ou alors une bonne analyse bien mise au service du roman ;
Ce Paul il a des qualités et des défauts, il est humain, il accepte d’emblée les enfants fais des efforts pour eux, il n’est pas le père mais il les aime.
On voit également l’évolution de la relation entre Hélène et Paul malgré les problèmes rencontrés. Je ne vais pas reprendre tout le livre.
En conclusion, je dois dire que j’ai été agréablement surprise par ce livre qui est un premier roman et je ne regrette pas de l’avoir lu .
Agréable à lire, vivant, réaliste, il y a de la réflexion avec les différends thèmes abordés, il est porteur d’espoir dans différends domaines.
Page 315 le paragraphe "L’esprit fleur bleu, c’est de savoir toujours garder l’optimisme....…jusqu'à ..... …….lorsqu’on sait exactement ce dont on ne veut plus. " Résume entièrement l’idée du livre à mon avis.
Je peux prendre ces phrases pour moi personnellement car maintenant je ne sais pas où je vais.
Mais je sais ce que je ne veux pas, ce que je ne veux plus et je reste fidèle à ma ligne de conduite donc quelque part je suis fleur bleue. Quelle logique n’est ce pas !!!!!!!! Je plaisante.
Bonne lecture à tous ceux qui l'auront dans les mains.
A bientôt J’espère. Bise.
Sara Motheau Quimper le 22 Septembre 2008

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Lettre de Sylvain

Bonsoir Sylvie,
On se dit : "tu", n'est-ce pas? D'accord?
Alors voilà. J'ai terminé. C’est peu-être parce que je suis pas mal bousculé sentimentalement en ce moment que j’ai ressenti ton roman ainsi; Mais pour moi c’est une histoire triste, peut-être pas en surface, mais dans le fond (le fond du roman est triste, un peu comme le fond de l’air peut être frais). Et même si Hélène et Paul resteront ensemble encore 20 ans ce ne sera pas une liaison sans soucis, sans stress, sans faille, sans fausse note…
En ce qui concerne les histoires drôles ou amusantes, elles ne concernaient pas les héros du roman, mais les rôles secondaires (la chute en mobylette du buveur, l’amoureux qui veux se suicider…).
L’histoire des livres (Paul les jette, Hélène les ramasse, puis c’est le contraire) peut paraître marrante, mais elle est ô combien symptomatique d’un des caractères de l’homme aimant: après une grosse colère il a des remords, il veut faire la paix avec celle qu’il aime et alors, il revient sur ses pas, agit dans le sens opposé à ses intentions premières.
Je me suis revu là dans certaines situations de ma vie sentimentale…
J’ai beaucoup apprécié la description des descentes en enfer d’Hélène et j’aurais aimé retrouver autant d’images de sa sortie de l’enfer (je veux parler de sa rencontre avec la dame à l’hospice, quand elle a recommencé à parler avec quelqu’un) où elle a été precipitée à 2 reprises. C’est vraiment bien exposé. D’ailleurs, tout au long de ton roman, je me sentais invité à me faire une image de ce qui se passe. Et il s’y passe sans arrêt quelque chose. De sorte qu’au fil de la lecture je passais d’une image à l’autre, sans vouloir m’arrêter, comme si je regardais un film. Je lisais pendant des heures, même la nuit quand je ne pouvais pas dormir. Je crois que je l’ai lu en 2 jours, maximum 3. Et je ne me suis pas ennuyé. Tu sais, je lis énormément. Et j’en ai lu des romans ennuyeux, à dormir debout, que je lisais pour m’endormir, et que je n’ai même pas terminés d’ailleurs. Le tien n’entre pas dans cette catégorie. J’étais toujours tenu en haleine et impatient de savoir comment continuait l’histoire.
N’as-tu pas eu d’ennui quand tu parles des Bretons qui aiment bien boire un coup? Quand tu dis, page 40: „ces vieux Bretons offrent pour beaucoup des faciès monstrueux… ».
Je pense là à Jean Carrière, qui a eu quelques problèmes avec son roman “L’épervier de Maheux”, dans lequel il décrit, entre autre, comment vivaient les Cévenols au milieu du 20eme siècle. Tu connais ce roman? Un des meilleurs romans pour moi. Je l’ai déjà lu 2 fois et je me le suis procuré récemment en Allemand pour voir si j’ai les mêmes sensations en le lisant.
Technique: les chapitres ne sont pas trop long. J’aime bien finir un chapitre avant de ferner le livre soit pour faire autre chose, soit pour (enfin) dormir.
Il y avait quelques expressions bretonnes, des jurons je crois (“Oh paour kaezh! ») dont je n’ai pas saisi le sens. Les expliquer au bas de la page est une possibilité, pas à la fin du livre dans une espèce d’index comme ça se fait parfois.
Je trouve agréable aussi que tu ne raconte qu’une histoire. Souvent on trouve dans des romans plusieurs histoires qui se déroulent les unes à côté des autres, parallèlement, et qui se rejoignent à la fin.Comprends-tu ce que je veux dire?
Pour conclure: j’attends ton prochain roman!
Sylvain Sondag le 11 septembre 2008 Fribourg Allemagne


Lettre de Claude Michel

J'ai lu avec attention votre roman.
Contrairement à ce que je pensais,je suis dans l'impossibilité de le recommander aux femmes des groupes dont je vous ai parlé.
En effet ce livre ne parle que très partiellement des violences conjugales avec de très longues disgressions ( ex: l'alcoolime en bretagne). mais surtout il n'a aucune analyse du processus de la montée de la violence ainsi que des moyens qui permettent aux femmes de sortir de leur situation.Votre bibliographie aurait dû porter sur les études qui ont été faites sur ce problème et non sur le transport du vin ou les tarots au Moyen-Age. Désolée de ne pouvoir vous être utile, mais ce livre ne correspond en rien à ce que je pensais. Cordialement   
Claude Michel le 3 août 2008

Réponse du 4 août à Claude Michel

Je tiens à vous remercie et de votre lecture et de votre critique. Je veux néanmoins vous préciser que ce livre est et reste un roman, que son action se situe il y a près de 30 ans. Ce n’est ni une étude ni une analyse sur les femmes battues aujourd’hui, pour cela je m’y serai prise bien autrement. En revanche, il s’adresse bien à des hommes et des femmes qui vivent de près de genre de situation.
J’en ai déjà des retours. Comme il m’a été écrit dernièrement, il est réaliste et est porteur d’espoir.

Quant à la bibliographie, elle ne peut concerner à ma connaissance que des ouvrages ayant servi à son élaboration. Or ce roman ne s’est absolument pas inspiré d’écrits existants, (à part ceux notifiés en fin d’ouvrage) et encore moins de ceux concernant des femmes battues. Pour ce qui est d’apporter les informations sur les études effectuées dans ce domaine, ou les centres permettant aujourd’hui d’aider les femmes aux prises avec ces difficultés, il serait judicieux d’y adjoindre la liste et les recommandations. Je vous l’ai proposé comme un outil pour toucher les personnes qui se trouvent dans ces situations et qui ne connaissent pas les moyens existants pour sortir de telles situations. Pas l’inverse ! Nous nous sommes sans doute mal comprises. Chaque jour de dédicace, ce n’est pas une, ni deux, mais plutôt, dix et plus qui sont actuellement dans cette situation, qui le disent à demi mot, ou l’avouent par un regard, et qui ne bougent pas et que nous n’aidons pas !
C’est tout au plus, deux ou trois de celles là qui vont lire ce livre, (que je vais placer en bibliothèque par ailleurs).
Ne serait-il donc pas utile que le lien puisse leur être donné par le biais d’un document, d’une liste ou autre pour contacter les associations ou des services adéquats, ou encore avoir les informations de ce qu’il faut faire en ce cas.  A vous de voir !
La digression sur l’alcoolisme en Bretagne dans ce roman n’a rien de gratuit Claude ! Les commentaires qui y sont donnés et dont nous prenons connaissance par la pensée et l’analyse d’Hélène, sont ceux là même que je divulguais il y a près de 10 ans sur les conférences que je menais alors sur le Canal du Midi. Je ne retire rien de cela et de plus, je pointe bien du doigt un des facteurs aggravant et déclencheur de la violence qu’elle soit chez l’époux ou chez les jeunes d’ailleurs : l’alcool et le mauvais alcool surtout.
 Merci de me laisser un message pour votre venue, car nous ne sommes pas tout le temps à demeure.
Très cordialement
Merci
Sylvie Robin 4 aout 2008

Réponse du 15 août à Claude Michel

Bonsoir

Je suis passée un peu rapidement car j'étais très mal garée et je devais voir une autre personne à Moelan.
Je réponds donc à votre mail. Votre livre est un roman, je l'ai bien compris mais même pour un roman, il est bon de se documenter sur le sujet. Il n'est pas précisé que l'action se situe il y a 30 ans. Ce livre ne parle pas du tout des moyens pour sortir des situations de violence: dépôt de plainte,certificats médicaux, aide des services sociaux ou des associations,lieux d'accueil....Pour toucher les femmes de Concarneau ou des environs immédiats nous avons une permanence, des tracts chez les médecins, les gendarmes, les assistances sociales et c'est ainsi que nous recevons les femmes en situation de violence. Nous pouvons les aider en leur offrant, pour elles et leurs enfants des nuits d'hôtel et des repas si besoin, en les aidant dans leurs démarches: commissariat, avocats, justice, et les aidant à retrouver un autre logement : place en foyer , paiement de la caution pour un appartement, aide pour trouver un logement social ou pas trop élevé... Il s'agit de choses très pratiques et pour l'hébergement, nous répondons immédiatement, en une heure ou 2, à leur demande car il s'agit toujours d'urgence.Rien à voir avec un roman.
Cordialement
Claude Michel le 15 août 2008

 

Réponse faite à Claude Michel le 20 Août 2008

Bonjour Claude
Je comprends bien votre réaction.
Ce que je tente de vous expliquer c’est qu’en faisant mes dédicaces, je suis touchée par le nombre impressionnant de femmes se trouvant dans des situations identiques à celle évoquée dans mon ouvrage.
N’êtes vous donc pas intéressée à ce que soit glissé dans ce roman, la liste des accueils possibles en Bretagne et ailleurs, ainsi que la marche à suivre pour ces femmes qui se trouvent actuellement dans de pareils cas ?
Dans les espaces culturels Leclerc par exemple, à plusieurs d’entre elles, j’ai parlé de votre association, l’Abri côtier, elles ne le connaissent pas….
Si votre réponse devait être à la négative, je ne vous cache pas que je chercherai à rencontrer d’autres associations en Bretagne et ailleurs en France qui seraient, quant à elles, peut-être intéressées par une pareille démarche.
Vous souhaitant une bonne fin de journée

Sylvie Robin
PS : Il est plusieurs fois fait mention dans le livre de l’époque où se déroule cette histoire. Mais peut être n’avez-vous pas tout lu, ce que je comprendrai fort bien à partir du moment où, comme vous me l’avez écrit, vous pensiez que ce livre parlait des moyens mis en place pour se sortir d’une situation analogue. Ce qui n’est pas le cas.

Dernier Mail de Claude Michel

Bien reçu votre mail. Pour nos dépliants qui pourraient être glissés dans votre livre, je vais en parler à l'association.Nous donnons des informations sur la région de Quimper et des conseils pratiques. Il n'y a pas beaucoup d'associations qui font ce genre d'accueil een Bretagne.A voir avec elles.J'ai lu votre livre en entier; certains détails font penser aux années 70, d'autres à une période beaucoup plus récente.
cordialement

Claude le 20 Août 2008


 

Lettre de Gisèle

De Brest, mes félicitations pour ton livre Chrysalide ou l'envol d'une fleur bleue. J'ai beaucoup aimé et ne m'y suuis pas ennuyée, bien au contraire! Je vois avec le librairie Dialogues de Brets pour que tu puisses venir dédicacer dans notre ville.

Gisèle Malville  le 8 Juillet 2008 Brest

 

Couverture

Chrysalide ou l'envol d'une fleur bleue
N° IBSN 9782916497365
Pour passer commande avec paiement par carte avec dédicace de l'auteur et PORT Offert :

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Quelques critiques
Le roman « Chrysalide ou l’envol d’une fleur Bleue » C’est tout sauf triste !
Les méchants ont du charme, les bons savent être odieux ou lamentables, Le drame quelque fois y atteint le paroxysme, et alors qu’on tremble, le narrateur nous plonge au détour de la page suivante dans le drolatique ou l’énorme.
La première partie est dure et réaliste, la seconde nous entraîne dans l’opposé; Le rythme y est rapide. Bref c’est un roman où l’on ne s’ennuie pas, et où l’Humour et l’Amour font bon ménage afin de venir à bout d'une situation détestable.

Liens amis et sites à découvrir :

http://yves-donval.com
http://paysdegauguin.fr;
http://pontaven.com
http://victorien-bastet.com
http://moulin-pontaven.com/musee.htm
http://hotels-pont-aven.com 
http://mincir Vite et Bien
http://lizalobartolo.canalblog.com/
http://www.art-singulier.com/
http://www.pont-aven.org/frameru.htm 
http://www.les13cranesdecristal.com/
http://belleangele.jimdo.com/
http://www.janebirkin.net/
http://www.alainsouchon.net/
http://www.universlio.com/

 

Autres textes de l'auteur:
Nouvelles, textes courts, poèmes, .....

 

Qu'est ce qu'une fleur bleue?